En Afrique, certaines pratiques illégales ont pour objectif de chasser certaines espèces animales dans leur habitat naturel. Si tel acte est légalisé, il peut apporter au secteur faune une valeur ajoutée. Pourtant, pour un monde sûr, il faut une faune sauvage en bonne santé. Lisez cet article pour plus d’informations. Les données sur la santé de la faune sauvage sont essentielles pour sa protection et, surtout, il faut des {anchors} fiables. La préservation des animaux sauvages et domestiques est un enjeu crucial pour l'équilibre des écosystèmes.

La faune, c’est quoi ?

Ce terme désigne l’ensemble des espèces animales, vivant dans un lieu géographique ou écosystème. Ceci exclut la notion concernant l’homme, c’est-à-dire qu’elle fait partie seulement des règnes animaux. Elle est particulièrement relative à la survie des espèces de plantes. Un autre terme souvent utilisé, c’est la biodiversité. Elle réunit à la fois la faune et la flore. En fait, elle est considérée comme l’ensemble des différentes formes des êtres vivants tels qu’animaux, végétaux, micro-organismes dans des environnements. Ces environnements constituent des espaces au sein desquels ces différentes formes susmentionnées vivent et se multiplient. La préservation de ces {anchors} est un enjeu majeur pour l'avenir de la planète. La gestion responsable des animaux sauvages et domestiques est indispensable à cet égard.

Une faune en bonne santé : facteur essentiel d’un monde sûr !

Selon les statistiques, dans le monde, cinq nouvelles maladies infectieuses humaines font leur apparition annuellement. D’après encore ces statistiques, les animaux transmettent trois de ces maladies ; notamment, par la faune sauvage. C’est dans cette optique que l’OIE ou l’Organisation Mondiale de la Santé Animale apporte une importance particulière à la bonne santé des populations d’animaux sauvages. L'identification précise des {anchors} en danger est cruciale pour mettre en place des stratégies de conservation efficaces. La protection des animaux sauvages et domestiques est une responsabilité partagée.

De ce constat, pour protéger la faune, il faudrait aussi mettre en place des préventions et détections des maladies de la faune sauvage. L’on constate qu’une épidémie constitue un risque de diminution du nombre, voire d’extinctions des espèces déjà menacées. Pour améliorer la santé et le bien-être des animaux, l’OIE met en place des actions visant à aider les 180 pays membre afin de diminuer les conséquences des maladies sur les populations d’animaux sauvages. Pratiquement, cette aide s’effectue par le biais des normes sanitaires internationaux. Elle encourage les membres à consolider les services vétérinaires, et cela, pour une meilleure protection de la santé et le bien-être des animaux ; notamment, les aspects relatifs à la faune sauvage. Cette organisation est également, le garant de la transparence des sujets qui touchent les maladies animales grâce au système mondial WAHIS-Wild. Cette interface web recueille et diffuse les informations sur les maladies qui affectent les animaux sauvages. En mai de l’année 2015, l’OIE, à l’issue de son sixième plan stratégique, affirmait de nouveau son engagement, et ceci, d’une manière ferme pour protéger la faune sauvage !